Description
1 boite en carton de 15,2 x 10,5 x (h)5,35 cm comprenant :
218 cartes en quoi consiste le jeu d’histoire « FHQ »
3 cartes d’aide de jeu qui reprennent quelques éléments du livret de règles
Un livret de règles en français
Un livret de règles en anglais.
Total : 615g
Ce jeu de stratégie pour 2, 3 ou 4 joueurs de complexité moyenne se joue en environ 2 heures une fois les règles et les différentes cartes assimilées ; il peut prendre, étalé au maximum, une surface d’environ 100 x 80 cm.
Mélangez les cartes : la partie peut commencer, vous devez être prêts à réfléchir aussitôt.
Le jeu vise à reproduire les conditions de rivalités entre Henri VIII, François 1° et Charles Quint durant leurs règnes, période de forte opposition mais non exclusivement militaire d’où un mécanisme ad hoc.
Néanmoins, quoique l’objectif soit de simuler la manière dont différents événements historiques se sont produits ou auraient pu se produire dans le contexte de l’Europe de la première moitié du 16° siècle, on peut y jouer même s’il on ne prête pas intérêt aux références historiques ou si l’on méconnait l’histoire.
Il s’agit d’un jeu de cartes et uniquement d’un jeu de cartes, telle était la gageure : nul besoin de dés, de pions et de marqueurs, de crayons, de feuilles de notes.
Chaque joueur au cours de manches successives expose devant lui des territoires, des colonies, des artistes, des explorateurs, son souverain, des châteaux, des armées, des généraux, son administration, son éventuelle descendance, engage des mercenaires, participe aux élections du St empire Romain germanique ; tente d’influencer la papauté, les Turcs ou les Protestants dont le rôle croit ; il peut aussi mener des batailles. La victoire est mesurée à l’issue de l’ultime manche et non graduellement. La main de chaque joueur peut comporter peu ou beaucoup de cartes, maitriser ce nombre fluctuant pour les réserver aux moments clés est une partie de la stratégie.
La règle du jeu est plutôt courte quand l’on considère avoir affaire à un jeu de stratégie historique ; néanmoins les livrets sont grossis du fait de la présence en annexe d’un catalogue qui permet de connaitre les propriétés de chaque carte. D’abord les cartes génériques (leur nom est grisé sur le catalogue mais elles ne portent pas la numérotation romaine : carte militaires, territoriales dont « colonies », Souverains, cartes étatiques, embellissements de ces débuts de la Renaissance etc.), puis les cartes de stratagèmes ; les chiffres romains sur les cartouches des divers stratagèmes font référence au numéro du catalogue des cartes qui les explicite. Des symboles iconographiques sur ces cartes servent à fixer la mémoire (ils sont présentés synthétiquement en début de catalogue).
